
PALAIS ABBATIAL
Le corps central
Le corps central de ce même bâtiment a conservé de l’autre côté, un portail à refends donnant accès à un vestibule en rotonde et à un escalier intérieur monumental daté de 1709. les bâtiments comportaient la cuisine, le réfectoire, des chambres de moines.
La démolition de l’abbatiale, du cloître, du palais abbatial dura plus d’un demi-siècle. L’illustre abbaye de Cherlieu était devenue une carrière de pierres.










Des caves voûtées formées d’un double berceau long d’une cinquantaine de mètres au moins, très bien construits en forte taille sont actuellement difficilement accessibles du fait des écoulements de boue.
En bordure du chemin a été replacée la croix aux armes de Ferdinand de RYE, datée de 1613 qui se dressait autrefois sur le parvis de l’église abbatiale.
Dans le vallon où coule le ruisseau des écrevisses, le promeneur attentif relèvera les traces d’aménagements anciens, canalisations, retenues d’étangs : traces fugaces du labeur des moines au XIIème siècle. Les travaux gigantesques de terrassements indispensables à l’implantation du monastère sont encore perceptibles sur le site actuel : rive talutée du ruisseau, trace des sept étangs aujourd’hui asséchés qui servaient de viviers et de réserves pour faire tourner les moulins (moulin Ferry encore existant , Moulin Battant, la Grange neuve détruits….).
Les caves voûtées
Réfectoire des moines






